Dans la dernière newsletter, nous vous indiquions que des délégués de chaque pays se retrouveront en Assemblée Mondiale à Buenos Aires, du 22 au 31 juillet 2018. Mais qui sont-ils ? Et combien ? Et comment pourront-ils remonter ce qui se vit dans notre pays ?
Chaque Communauté nationale de moins de 1000 membres enverra trois délégués. Et les Communautés nationales de plus de 1 000 membres en enverront cinq. C’est une nouveauté depuis la dernière Assemblée Mondiale en 2013, au Liban. Ainsi, c’est environ 220 membres de la Communauté qui participeront à l’Assemblée Mondiale.
Parmi ces délégués, il y a forcément le Président et l’Assistant national. L’ (les) autre(s) délégué(s) est (sont) appelé(s) parmi les membres.
Pour la CVX France, nous aurons la chance d’être cinq délégués. Le groupe n’est pas encore au complet, alors patience pour nous découvrir…
Mais comment ces cinq délégués sauront ce que nous vivons, nous « à la base » ?
Une équipe sera montée autour de ces délégués, pour les aider à se préparer à l’Assemblée et à avoir la meilleure parole possible de ce que la CVX vit en France.
Elle sera composée de personnes variées, aussi bien dans leurs lieux géographiques que dans leur connaissance de la CVX en France. Les appels pour composer cette équipe vont bientôt commencer.
L’équipe et les délégués se rencontreront plusieurs fois en 2018. Après avoir fait connaissance, nous prierons et travaillerons ensemble sur différents thèmes, qui nous seront majoritairement donnés via les lettres que l’actuelle ExCo Mondiale nous envoie en vue de préparer l’Assemblée Mondiale.
Et moi, membre « lambda », comment puis-je donner mon mot ?
1er moyen, très simple : en nous écrivant, en toute bienveillance, à am2018@cvxfrance.com.
2ème moyen : en venant nous rencontrer pendant l’Assemblée Mondiale, lors de la journée Portes Ouvertes. Pour ça, vivre le voyage Argentine 2018, dont nous vous avons parlé dans une précédente newsletter !
Au final, chacun d’entre nous est concerné par cette Assemblée Mondiale et peut le manifester.
En effet, les orientations prises viendront de ce que nous aurons remontés de ce que nous vivons « à la base ». Et ces dernières seront ensuite déclinées localement et nous impacterons pour les cinq années à venir.